Suite de la Gazette de Maurice, n° 157, Samedi 4 Avril 1818.
S'adresser à M. Riouffe, au bureau de Poste.
- Une négresse blanchisseuse, un noir domestique, un id. cuisinier et deux autres manoeuvres.
- Une maison à romaine rues de la Rampe et de Tourraine.
S'adresser à M. J.M.Lagesse ; lequel a divers objets de ménage à vendre.
- Boutique, arrière-boutique, cave et dépendances, vis-à-vis M. Fourcade, tailleur, à côté de M. Génoy, Orfêvre.
- Une grande et belle cave sous la librairie de M. E. Burdet, rue de Paris.
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EFFETS TROUVES.
- Il s'est réfugié chez Mme Ve. Mesnard, un bélier, elle le rendra à qui donnera preuve de propriété en payant le présent avis.
- Il s'est réfugié chez M. Comarmond, à Flacq, un bourriquet, qu'il remettra au propriétaire, en payant les frais du présent avis.
- Il a été sauvé sur l'habitation de Perrine, à la Petite Rivière, du 1er au 3 Mars, un canot à clins et quelques gaules ; elle les remettra au propriétaire, en payant le sauvetage et les frais du présent avis.
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EFFETS PERDUS.
Une montre anglaise plate à recouvrement, dont le boitier et les aiguilles sont en or, ayant 2 cadrans sur émail, un petit verre encadré sur le boitier supérieur pour le petit cadran du milieu, et s'ouvrant par le bouton, de plus une chaine à l'antique à 2 médaillons, ayant 4 chaînons et au dernier médaillon 6, dont 1 porte une petite clef ; cette montre a été volée le 28 Mars, chez M. Ch. Pitot, qui promet bonne récompense à celui qui la rapportera.
- Un bourriquet gris, en bon état, gros ventre, s'est échappé de l'habitation de M. Pigeot St-Vallery, qui le réclame. Récompense à celui qui le ramènera.
- M. Demarne réclame une négresse malgache nommée Belmina, ayant des tampannes sur la figure, marronne depuis environ un mois ; on la soupçonne au Bois Rouge. Prière de l'arrêter et la faire conduire chez lui à la Petite Rivière, ou chez M. Guerce, au Port, ou à la Police.
- Il s'est échappé de chez M. Labauve, à Palme, un bourriquet gris, de moyenne taille, ayant une petite loupe sur la lèvre supérieure, il a pris la route des Plaines St Pierre ou celle du Tamarin. Prière est faite à l'habitant chez lequel il s'est réfugié, d'en donner avis à M. Labauve ou à M. E.Vinay, sur le Rempart.
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[EXTRACT FROM THE CAPE GAZETTE, NON REPRIS ICI]
